Près d’un élève sur cinq déclare être la cible de (cyber)harcèlement — un constat qui rappelle l’urgence d’une mobilisation collective pour assurer un climat scolaire sûr et bienveillant.
L’avis souligne que le harcèlement scolaire constitue une violation manifeste des droits fondamentaux de l’enfant et qu’il doit être compris non comme un simple conflit entre élèves, mais comme une atteinte à la dignité et à la sécurité.
Afin de renforcer la prévention et la coordination entre les acteurs scolaires et associatifs, le Délégué général formule cinq recommandations majeures :
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créer des cellules de référence et d’intervention dans chaque province,
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renforcer le programme-cadre de lutte contre le harcèlement,
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mieux former les professionnels de l’école,
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généraliser le recueil de données à travers un baromètre annuel,
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et garantir l’indépendance de l’Observatoire du climat scolaire.
 
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