La pauvreté touche aujourd’hui un enfant sur sept dans notre pays.
Au-delà du manque matériel, c’est tout un pan des droits fondamentaux qui vacille : alimentation, santé, éducation, accès à la culture et au jeu. Cette précarité laisse des traces profondes sur le bien-être, la santé mentale et l’avenir de milliers d’enfants.
Lors d’une conférence de presse commune, la Fondation Reine Paola et le Délégué général aux droits de l’enfant ont rappelé que la lutte contre la pauvreté des enfants doit devenir une priorité nationale.
« On ne peut pas faire des économies sur de l’humain », souligne Solayman Laqdim, Délégué général aux droits de l’enfant.
« Tous les citoyens peuvent agir, à leur échelle », ajoute Philippe Dechamps, directeur général de la Fondation Reine Paola.
Cette mobilisation a été présentée à Bouillon de CultureS, une maison de quartier schaerbeekoise qui offre depuis plus de quarante ans un accompagnement scolaire et social à des enfants issus de milieux défavorisés.
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